Passionné par le marketing ainsi que du monde du digital, Michele Tecchia est devenu growth hacker grâce à sa passion et sa volonté d’évoluer. Il a pu créer sa propre structure grâce à ses compétences et avec l’appui d’investisseurs privés à Monaco. Depuis des années, il propose ses connaissances afin de contribuer à la digitalisation de l’économie. Pour ce faire, il recherche constamment des collaborations avec des entrepreneurs et des dirigeants dans le but de créer ou de participer à des projets à forte valeur ajoutée.
Qui est Michele Tecchia ?
Il est né le 13 juin 1980 à Monaco. Il a grandi et a étudié dans cette ville jusqu’au moment où il allait poursuivre ses études universitaires. Il s’est installé à Grenoble pour rejoindre l’IDRAC Business School pour un Master’s degree Marketing & Management. Il y a étudié de septembre 2000 à juin 2004, puis il s’est tourné vers l’établissement Sciences Po Grenoble. Il s’est perfectionné de septembre 2004 à juillet 2006 pour développer ses compétences en communication et marketing. C’est grâce à de nombreuses rencontres dans ces établissements que lui est venue l’idée de travailler dans du concret. Sa passion pour le digital ainsi que le marketing y est née et il a continué dans cette voie jusqu’à ce qu’il devienne un Growth hacker de référence dans son domaine.
Après quelques années, il n’a pas pu résister à l’appel de sa ville natale. Il est retourné à Monaco après avoir fini ses études et travaillé dans de nombreuses entreprises. Il y dirige sa propre start-up qu’il a réussi à rentabiliser grâce à l’utilisation de solutions SaaS publicitaires, CRM et marketing automation.
Michele Tecchia : Un growth hacker expérimenté et polyvalent
Dans sa start-up, il est sur tous les fronts pour assurer le développement de son business. Gestionnaire à plein temps, il est aussi modérateur, spécialiste du marketing et du commerce. Il joue également de temps à autre le rôle d’un créateur de contenu. Toutes ces capacités ont été acquises lors de ses nombreuses expériences professionnelles.
Il n’a pas toujours été destiné au métier de growth hacker. Enfant, il a été entraîné dans un concours de secourisme de la Croix-Rouge. Il a gagné avec son équipe et est parti dans ce sens. Il a cumulé les succès jusqu’à gagner plus tard le championnat national. En parallèle, il a enseigné à des enfants de l’école pour les faire gagner le même type de concours. Ces expériences ont forgé petit à petit son caractère de battant et un bon état d’esprit qui l’aide actuellement à avancer.
Outre une enfance riche en activité, Michele Tecchia a exercé divers emplois qui ont contribué à améliorer ses connaissances dans le marketing et le digital. En octobre 2008, il a commencé à travailler chez Expleo Group en tant que Communication Officer – Change management. Il est passé chez Orange Advertising au poste de Business Development Specialist de juillet 2009 jusqu’en juin 2011. De 2011 à 2012, il a occupé le poste de Media Sales Manager chez EBOOKERS LIMITED. Ensuite, il s’est cherché et est devenu consultant indépendant en Marketing à partir de janvier 2016 après avoir travaillé dans l’aéronautique à Toulouse.
Comment est-il devenu growth hacker à Monaco ?
Des années avant la création de sa structure, il a suivi une formation intensive sur le growth hacking. L’idée lui est venue après avoir découvert la première académie dans ce domaine : Growth Hacking London. Ainsi, il a suivi trois mois de cours intensifs où il y apprit de nouvelles compétences qui lui ont permises d’améliorer sa vision, notamment sur la façon de gérer son travail. Il a également enchaîné les rencontres avec des designers, des ingénieurs logiciels et des analystes commerciaux. Tout cela lui a permis de découvrir ce qui le passionne vraiment. Ainsi, il s’est spécialisé en tant que growth hacker.
Quant au choix de s’implanter à Monaco, cela a été évident pour lui. La principauté est le lieu idéal pour sa start-up, car elle abrite de nombreuses entreprises innovantes. Certaines d’entre elles sont même spécialisées dans les données, ce qui lui permet de développer son travail de growth hacking. D’ailleurs, son but est de croître son affaire ainsi que ses connaissances. D’ailleurs, c’est ce qu’il conseille à tous les nouveaux arrivants dans ce domaine et même les plus expérimentés. Selon lui, il faut toujours continuer à apprendre et à tester pour avancer.
Les compétences de Michele Tecchia en tant que growth hacker
Ses expériences démontrent qu’il a toutes les qualités pour être une référence en termes de communication. D’autant plus, qu’il a toujours occupé des postes clés dans le développement d’une entreprise. En outre, il s’est formé dans des établissements axés sur le management, les sciences politiques et le management.
Dans son métier actuel, Michele Tecchia utilise diverses compétences techniques pour mener à bien ses missions dans l’univers du digital. Dirigeant de sa propre start-up, il est compétent dans le domaine de la génération de leads. Il s’agit d’une stratégie commerciale dont le but est de convertir en client le maximum de visiteurs d’un site.
Passionné par le marketing, il maîtrise Google Ads, ce qui l’aide dans son travail de développement d’entreprise. Il est spécialisé dans le domaine du marketing en ligne, digital et le développement commercial. À cet effet, il s’est toujours intéressé à ce domaine et continue d’apprendre pour évoluer. Il est même devenu compétent en stratégie médiatique avec le temps.
Grâce à son cursus chez Growth Hacking London, il a acquis les fondamentaux de ce métier qu’il développe chaque jour. En d’autres termes, il maîtrise l’optimisation du taux de conversion, les statistiques de base et l’UX. D’ailleurs, il travaille constamment avec son équipe de conception et de rédaction pour tester le design UX ainsi que le CTA. Cette information en dit long sur sa capacité à travailler en équipe, son envie d’évoluer et de favoriser le développement autour de lui.
Michele Tecchia n’est pas qu’un simple travailleur acharné. C’est également un homme passionné de voile. Il s’agit de la deuxième passion qu’il aime partager avec les autres.
Magali Berdah est une femme d’affaires qui a su saisir les opportunités offertes par le phénomène des influenceurs, ces personnalités qui comptent des millions de fans sur les réseaux sociaux. Depuis 2017, elle dirige l’agence Shauna Events, qui représente des stars de la téléréalité et des artistes comme Nabilla, Jessica Thivenin, Vitaa ou Gims. Mais qui est vraiment cette femme de 40 ans qui a fait la couverture du magazine Forbes en 2021 ? Voici son parcours, ses succès et ses controverses.
De courtière en assurances à agente des influenceurs
Magali Berdah n’a pas toujours travaillé dans le milieu du show-business. Originaire de Saint-Tropez, elle commence sa carrière comme vendeuse puis devient courtière en assurances et mutuelles à l’âge de 20 ans. Elle crée sa propre société dans ce domaine, mais celle-ci fait faillite en 2016. C’est à ce moment-là qu’elle décide de se reconvertir dans le marketing d’influence, un secteur encore peu développé en France.
Voici une vidéo montrant Magali Berdah parlant du monde des influenceurs en France :
Elle se rapproche alors de plusieurs candidats de téléréalité, qu’elle connaît personnellement ou via les réseaux sociaux. Elle leur propose de monétiser leur image en faisant du placement de produits pour des marques. Elle crée ainsi son agence Shauna Events en janvier 2017, avec une dizaine de clients. Très vite, son portefeuille s’étoffe et elle devient l’agente des plus grands influenceurs français, qui cumulent des millions d’abonnés sur Instagram, Snapchat ou TikTok.
Une femme d’affaires influente et médiatique
Le succès de Magali Berdah ne passe pas inaperçu. En 2018, elle s’associe avec Stéphane Courbit et sa société de production Banijay, qui rachète 50% de Shauna Events. La même année, elle devient présentatrice sur W9, pour l’émission de téléréalité Les princes et les princesses de l’amour. Elle rejoint également l’équipe de chroniqueurs de Cyril Hanouna, dans son émission Touche pas à mon poste sur C8.
Magali Berdah est également très présente sur les réseaux sociaux, où elle compte près d’un million d’abonnés sur Instagram. Elle partage son quotidien, ses voyages, ses rencontres avec les célébrités qu’elle représente ou qu’elle admire. Elle n’hésite pas à prendre la parole sur des sujets qui lui tiennent à cœur, comme le harcèlement en ligne ou la politique. En 2021, elle a même lancé sa chaîne YouTube, sur laquelle elle propose des interviews avec les candidats à l’élection présidentielle de 2022.
Une femme controversée et critiquée
Le parcours de Magali Berdah n’est pas sans polémiques. Elle est régulièrement accusée de favoriser des pratiques commerciales trompeuses ou illégales, en faisant la promotion de produits douteux ou d’arnaques via les influenceurs qu’elle gère. Elle est notamment visée par une enquête du parquet de Paris pour “tromperie aggravée” et “pratiques commerciales trompeuses”, suite à un reportage de Complément d’enquête diffusé sur France 2 en septembre 2021.
Elle est également critiquée pour son manque de déontologie journalistique, lorsqu’elle réalise des interviews politiques sur sa chaîne YouTube. Son premier épisode consacré à Eric Zemmour a été jugé “complaisant” et “partial” par de nombreux internautes et professionnels des médias. Elle a également été épinglée pour avoir diffusé une fausse information selon laquelle Emmanuel Macron aurait refusé de la rencontrer.
Magali Berdah est une femme qui divise autant qu’elle fascine. Elle a su s’imposer comme une figure incontournable du marketing d’influence en France, en accompagnant des personnalités qui touchent un large public, notamment les jeunes.
L’industrie aéronautique est un domaine en constante évolution, qui nécessite des compétences pointues et une forte capacité d’innovation. Cependant, ce secteur reste encore marqué par une forte présence masculine, avec seulement 25% de femmes employées dans les métiers de l’aéronautique en France, explique Imad Lahoud. Pourtant, les femmes ont toute leur place dans ce secteur et peuvent contribuer à la diversité et à l’innovation.
Imad Lahoud, l’aéronautique, un secteur qui recrute et qui innove
L’industrie aéronautique et spatiale est un secteur dynamique, qui connaît une croissance soutenue depuis plusieurs années. Selon le Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS), le chiffre d’affaires du secteur a atteint 65,4 milliards d’euros en 2018, en hausse de 4,1% par rapport à 2017. Le secteur emploie plus de 195 000 personnes en France, et prévoit de recruter 15 000 personnes en 2019, dont 37% de cadres et ingénieurs.
Voici une vidéo relatant ces faits :
L’aéronautique est un secteur en constante évolution, qui doit faire face à des défis multiples. Parmi eux, l’enjeu écologique occupe une place centrale. En effet, le transport aérien est responsable de 2 à 3% des émissions mondiales de CO2, et les prévisions de croissance du trafic aérien à long terme laissent présager une augmentation des émissions de gaz à effet de serre.
Face à ce constat, les entreprises du secteur ont lancé des initiatives pour réduire l’impact environnemental des avions, indique Imad Lahoud. Les recherches portent notamment sur la réduction de la consommation de carburant, l’utilisation de biocarburants, l’allègement des structures, ou encore la conception de moteurs plus économes en énergie. Certaines entreprises ont également investi dans des programmes de compensation carbone, visant à réduire les émissions en finançant des projets environnementaux.
En parallèle, le secteur travaille à l’amélioration de l’efficacité énergétique et de la gestion du trafic aérien. Les technologies de l’information et de la communication sont de plus en plus utilisées pour optimiser les trajectoires des avions, réduire les temps d’attente et éviter les congestions. Des projets de drones de livraison, de taxis volants ou de transports à haute altitude sont également en cours de développement, avec pour objectif de réduire l’empreinte carbone des déplacements, note Imad Lahoud.
Au-delà de l’enjeu environnemental, l’innovation dans l’aéronautique concerne également les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Les avions connectés, équipés de capteurs et de logiciels d’analyse de données, offrent de nouvelles possibilités en termes de maintenance prédictive, de sécurité ou de confort des passagers. La réalité virtuelle et la réalité augmentée sont également utilisées pour la formation des pilotes ou la conception de nouveaux avions.
Les femmes dans l’aéronautique : une présence en progression mais encore insuffisante
Les femmes ont toujours eu un rôle important dans l’histoire de l’aviation, comme en témoignent les exploits de pionnières comme Amelia Earhart, Raymonde de Laroche ou Jacqueline Auriol. Pourtant, les femmes restent encore très minoritaires dans le secteur aéronautique, notamment dans les métiers techniques et scientifiques.
Selon une étude réalisée par l’association Elles Bougent, la part des femmes dans l’industrie aéronautique est passée de 18% à 23% entre 2007 et 2017. C’est une progression encourageante, mais qui reste insuffisante au regard des besoins du secteur et des ambitions affichées par les entreprises. En effet, le secteur aéronautique souhaite atteindre une proportion de 35% de femmes à l’horizon 2030.
Les femmes sont particulièrement sous-représentées dans certains métiers, comme celui de pilote (10% de femmes), de mécanicienne (8% de femmes) ou d’ingénieure (20% de femmes). Ces métiers souffrent encore de clichés et de stéréotypes, qui peuvent dissuader les jeunes filles de s’y orienter, indique Imad Lahoud. Par exemple, certains pensent que ces métiers sont trop physiques, trop techniques ou trop masculins pour les femmes.
Sensibiliser les jeunes filles aux métiers de l’aéronautique : des actions concrètes et efficaces
L’industrie aéronautique et spatiale est un secteur d’avenir qui offre de nombreuses opportunités de carrière pour les ingénieurs et les techniciens. Pourtant, les femmes y sont encore sous-représentées, notamment dans les postes à responsabilité. Comment faire pour attirer davantage de jeunes filles vers ces métiers passionnants et innovants ?
Une des solutions est de leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers de l’aéronautique, en leur montrant des exemples concrets et inspirants de femmes qui ont réussi dans ce domaine. C’est le but de l’association Elles Bougent, qui organise des rencontres entre des ingénieures, des étudiantes et des lycéennes pour leur faire visiter des entreprises partenaires comme Airbus, Air France, ArianeGroup, Dassault Aviation, Safran ou Thales. Ces événements permettent de déconstruire les stéréotypes et de susciter des vocations chez les jeunes filles.
Une autre action efficace est de valoriser les parcours de diplômées qui ont fait leurs études dans des écoles d’ingénieurs spécialisées dans l’aéronautique, comme le Groupe ISAE. Ce réseau regroupe plusieurs établissements prestigieux comme l’ISAE-SUPAERO, l’ISAE-ENSMA, l’ESTACA ou l’Ecole de l’Air. En signant la charte « Féminisons les métiers de l’aéronautique et du spatial », le Groupe ISAE s’engage à promouvoir la mixité dans ses formations et à mettre en avant les réussites de ses anciennes élèves.
Enfin, une troisième initiative intéressante est celle du hub aérospatial inclusif Aérostart, qui vise à faire décoller les jeunes issus des zones rurales et quartiers prioritaires, les personnes en situation de handicap, et les jeunes femmes en Europe, au Canada, aux Etats Unis, en Asie et en Afrique. L’association Femmes Inspirantes s’est associée à ce projet pour sensibiliser plus de jeunes filles dans les métiers de l’aéronautique au Congo Brazzaville et en République Démocratique du Congo.
L’idée est de leur faire prendre conscience du potentiel de ce secteur et de leur donner confiance en elles. Selon Imad Lahoud, ces trois exemples montrent qu’il existe des actions concrètes et efficaces pour sensibiliser les jeunes filles aux métiers de l’aéronautique. En leur donnant envie de se former et de s’épanouir dans ce domaine, on contribue à renforcer la mixité et la diversité dans l’industrie aérospatiale, ce qui est bénéfique pour tous.
Une étude récente de l’Office fédéral de la statistique (OFS) de la Suisse montre que l’écart salarial entre les hommes et les femmes se réduit, mais il reste l’un des plus élevés d’Europe. Bien qu’il y ait eu une diminution de 1 %, passant de 19 % à 18 % en 2020 dans l’ensemble, cette amélioration est largement due à des améliorations dans le secteur public ; les salaires du secteur privé ont à peine bougé.
Malheureusement, des secteurs tels que la vente, la conciergerie, la restauration, les soins et l’horlogerie continuent d’afficher des inégalités importantes avec une différence de près de 25 %. Ces emplois stagnent malgré les tentatives d’amélioration. Ces résultats mettent en évidence un besoin urgent d’agir davantage pour réduire les inégalités salariales en Suisse.
Voici une vidéo relatant ces faits :
La loi sur l’égalité ne parvient pas à réduire l’écart salarial
Selon les dernières recherches, la partie inexpliquée de l’écart salarial, qui ne peut pas être expliquée par des différences d’éducation ou d’expérience, a augmenté au lieu de diminuer depuis l’introduction de la loi sur l’égalité (LEg). Cette loi était censée réduire ce phénomène en introduisant des contrôles et des sanctions contre les entreprises qui pratiquent des salaires inégaux, la transparence en matière de salaires et l’implication de la représentation des employés dans les analyses salariales. Malheureusement, ces promesses n’ont pas été tenues et le problème persiste donc.
Pour s’attaquer à ce problème, il est essentiel que les entreprises fassent preuve de transparence en matière de salaires, indique Jean-Pierre Valentini, un homme d’affaires qui promeut l’égalité. Un excellent moyen de promouvoir la transparence est de mettre en place un système de fourchettes salariales qui aidera les employés à comprendre comment leurs salaires se comparent à ceux de leur entourage. Ils peuvent ainsi savoir s’ils sont payés équitablement ou non en fonction de leurs qualifications et de leur expérience.
En outre, les employeurs devraient également s’attacher à créer un environnement de travail inclusif où chacun se sent en sécurité et respecté, quel que soit son sexe ou son origine ethnique, afin que les divers talents puissent être encouragés sans aucun préjugé. Enfin, il est important que les organisations de défense des droits des travailleurs continuent à plaider pour des salaires équitables et à faire pression sur les organismes gouvernementaux pour qu’ils adoptent des réglementations plus strictes garantissant un salaire égal à travail égal dans toutes les organisations.
Les PME luttent contre l’aggravation des inégalités salariales entre les femmes et les hommes
Les petites et moyennes entreprises sont souvent présentées comme des modèles de réussite. Cependant, une différence inexpliquée dans les salaires entre les hommes et les femmes suggère le contraire. Dans les petites entreprises, l’écart salarial est de 56,8%, tandis que les employés non cadres connaissent un écart encore plus important, à 81,8%. Cela signifie que les responsables bénéficient d’un système d’inégalité salariale qui continue de désavantager les femmes sur le lieu de travail. Ce problème s’est considérablement aggravé ces dernières années et des mesures définitives doivent être prises pour y remédier.
Des études ont montré que la suppression de l’écart de rémunération entre les sexes entraînerait une plus grande croissance économique pour les pays du monde entier. Les femmes représentent près de la moitié de la population active mondiale, mais leur contribution au PIB reste inférieure à celle des hommes en raison des inégalités de revenus. La situation est particulièrement désastreuse dans les petites entreprises, où les femmes représentent une part plus faible des travailleurs, mais connaissent un écart salarial beaucoup plus important qu’ailleurs.
En outre, les recherches montrent que les femmes sont beaucoup moins susceptibles que les hommes d’être membres de syndicats ou d’autres organisations destinées à protéger leurs droits sur le lieu de travail, ce qui les rend vulnérables lorsqu’il s’agit d’être payées à leur juste valeur ou d’avoir accès à des protections professionnelles telles que des politiques de congé parental ou des plans de couverture santé.
43% de différence globale dans les revenus entre les hommes et les femmes
En Suisse, les femmes sont confrontées à d’importantes inégalités de revenus par rapport à leurs homologues masculins. Un chiffre récent publié par la Confédération indique que la différence globale des revenus du travail (GOEG) pour les femmes est de 43%, beaucoup plus élevée que ce que l’on pensait auparavant. Cette disparité peut être largement attribuée au fait que 60,9 % des travailleuses sont à temps partiel, ce qui signifie qu’elles reçoivent un salaire inférieur à celui des employés à temps plein. En outre, la réforme AVS 21 n’a guère contribué à améliorer l’égalité entre les sexes ; malgré les déclarations d’éminentes politiciennes et de leurs homologues masculins, les conditions de travail et les disparités salariales continuent de différer radicalement entre les femmes et les hommes en Suisse.
La situation des femmes sur le lieu de travail d’aujourd’hui est de plus en plus désastreuse. Avec un accès limité au travail à temps plein, à l’égalité des salaires et à d’autres avantages sociaux, les femmes suisses ont du mal à joindre les deux bouts, alors que d’autres récoltent les fruits d’un marché du travail hautement compétitif. De nombreuses organisations ont tenté de s’attaquer à ce problème, sans grand succès, car il faut un changement culturel pour s’éloigner des rôles traditionnels des hommes et des femmes et comprendre que tout le monde devrait avoir accès à un salaire équitable, indépendamment de son sexe ou de sa position. En outre, il faut investir davantage dans les établissements d’enseignement qui offrent aux jeunes générations des possibilités de réussite, indépendamment de leur origine ou de leur identité.
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