Magali Berdah est une femme d’affaires qui a su saisir les opportunités offertes par le phénomène des influenceurs, ces personnalités qui comptent des millions de fans sur les réseaux sociaux. Depuis 2017, elle dirige l’agence Shauna Events, qui représente des stars de la téléréalité et des artistes comme Nabilla, Jessica Thivenin, Vitaa ou Gims. Mais qui est vraiment cette femme de 40 ans qui a fait la couverture du magazine Forbes en 2021 ? Voici son parcours, ses succès et ses controverses.
De courtière en assurances à agente des influenceurs
Magali Berdah n’a pas toujours travaillé dans le milieu du show-business. Originaire de Saint-Tropez, elle commence sa carrière comme vendeuse puis devient courtière en assurances et mutuelles à l’âge de 20 ans. Elle crée sa propre société dans ce domaine, mais celle-ci fait faillite en 2016. C’est à ce moment-là qu’elle décide de se reconvertir dans le marketing d’influence, un secteur encore peu développé en France.
Voici une vidéo montrant Magali Berdah parlant du monde des influenceurs en France :
Elle se rapproche alors de plusieurs candidats de téléréalité, qu’elle connaît personnellement ou via les réseaux sociaux. Elle leur propose de monétiser leur image en faisant du placement de produits pour des marques. Elle crée ainsi son agence Shauna Events en janvier 2017, avec une dizaine de clients. Très vite, son portefeuille s’étoffe et elle devient l’agente des plus grands influenceurs français, qui cumulent des millions d’abonnés sur Instagram, Snapchat ou TikTok.
Une femme d’affaires influente et médiatique
Le succès de Magali Berdah ne passe pas inaperçu. En 2018, elle s’associe avec Stéphane Courbit et sa société de production Banijay, qui rachète 50% de Shauna Events. La même année, elle devient présentatrice sur W9, pour l’émission de téléréalité Les princes et les princesses de l’amour. Elle rejoint également l’équipe de chroniqueurs de Cyril Hanouna, dans son émission Touche pas à mon poste sur C8.
Magali Berdah est également très présente sur les réseaux sociaux, où elle compte près d’un million d’abonnés sur Instagram. Elle partage son quotidien, ses voyages, ses rencontres avec les célébrités qu’elle représente ou qu’elle admire. Elle n’hésite pas à prendre la parole sur des sujets qui lui tiennent à cœur, comme le harcèlement en ligne ou la politique. En 2021, elle a même lancé sa chaîne YouTube, sur laquelle elle propose des interviews avec les candidats à l’élection présidentielle de 2022.
Une femme controversée et critiquée
Le parcours de Magali Berdah n’est pas sans polémiques. Elle est régulièrement accusée de favoriser des pratiques commerciales trompeuses ou illégales, en faisant la promotion de produits douteux ou d’arnaques via les influenceurs qu’elle gère. Elle est notamment visée par une enquête du parquet de Paris pour “tromperie aggravée” et “pratiques commerciales trompeuses”, suite à un reportage de Complément d’enquête diffusé sur France 2 en septembre 2021.
Elle est également critiquée pour son manque de déontologie journalistique, lorsqu’elle réalise des interviews politiques sur sa chaîne YouTube. Son premier épisode consacré à Eric Zemmour a été jugé “complaisant” et “partial” par de nombreux internautes et professionnels des médias. Elle a également été épinglée pour avoir diffusé une fausse information selon laquelle Emmanuel Macron aurait refusé de la rencontrer.
Magali Berdah est une femme qui divise autant qu’elle fascine. Elle a su s’imposer comme une figure incontournable du marketing d’influence en France, en accompagnant des personnalités qui touchent un large public, notamment les jeunes.
L’industrie aéronautique est un domaine en constante évolution, qui nécessite des compétences pointues et une forte capacité d’innovation. Cependant, ce secteur reste encore marqué par une forte présence masculine, avec seulement 25% de femmes employées dans les métiers de l’aéronautique en France, explique Imad Lahoud. Pourtant, les femmes ont toute leur place dans ce secteur et peuvent contribuer à la diversité et à l’innovation.
Imad Lahoud, l’aéronautique, un secteur qui recrute et qui innove
L’industrie aéronautique et spatiale est un secteur dynamique, qui connaît une croissance soutenue depuis plusieurs années. Selon le Groupement des Industries Françaises Aéronautiques et Spatiales (GIFAS), le chiffre d’affaires du secteur a atteint 65,4 milliards d’euros en 2018, en hausse de 4,1% par rapport à 2017. Le secteur emploie plus de 195 000 personnes en France, et prévoit de recruter 15 000 personnes en 2019, dont 37% de cadres et ingénieurs.
Voici une vidéo relatant ces faits :
L’aéronautique est un secteur en constante évolution, qui doit faire face à des défis multiples. Parmi eux, l’enjeu écologique occupe une place centrale. En effet, le transport aérien est responsable de 2 à 3% des émissions mondiales de CO2, et les prévisions de croissance du trafic aérien à long terme laissent présager une augmentation des émissions de gaz à effet de serre.
Face à ce constat, les entreprises du secteur ont lancé des initiatives pour réduire l’impact environnemental des avions, indique Imad Lahoud. Les recherches portent notamment sur la réduction de la consommation de carburant, l’utilisation de biocarburants, l’allègement des structures, ou encore la conception de moteurs plus économes en énergie. Certaines entreprises ont également investi dans des programmes de compensation carbone, visant à réduire les émissions en finançant des projets environnementaux.
En parallèle, le secteur travaille à l’amélioration de l’efficacité énergétique et de la gestion du trafic aérien. Les technologies de l’information et de la communication sont de plus en plus utilisées pour optimiser les trajectoires des avions, réduire les temps d’attente et éviter les congestions. Des projets de drones de livraison, de taxis volants ou de transports à haute altitude sont également en cours de développement, avec pour objectif de réduire l’empreinte carbone des déplacements, note Imad Lahoud.
Au-delà de l’enjeu environnemental, l’innovation dans l’aéronautique concerne également les nouvelles technologies de l’information et de la communication. Les avions connectés, équipés de capteurs et de logiciels d’analyse de données, offrent de nouvelles possibilités en termes de maintenance prédictive, de sécurité ou de confort des passagers. La réalité virtuelle et la réalité augmentée sont également utilisées pour la formation des pilotes ou la conception de nouveaux avions.
Les femmes dans l’aéronautique : une présence en progression mais encore insuffisante
Les femmes ont toujours eu un rôle important dans l’histoire de l’aviation, comme en témoignent les exploits de pionnières comme Amelia Earhart, Raymonde de Laroche ou Jacqueline Auriol. Pourtant, les femmes restent encore très minoritaires dans le secteur aéronautique, notamment dans les métiers techniques et scientifiques.
Selon une étude réalisée par l’association Elles Bougent, la part des femmes dans l’industrie aéronautique est passée de 18% à 23% entre 2007 et 2017. C’est une progression encourageante, mais qui reste insuffisante au regard des besoins du secteur et des ambitions affichées par les entreprises. En effet, le secteur aéronautique souhaite atteindre une proportion de 35% de femmes à l’horizon 2030.
Les femmes sont particulièrement sous-représentées dans certains métiers, comme celui de pilote (10% de femmes), de mécanicienne (8% de femmes) ou d’ingénieure (20% de femmes). Ces métiers souffrent encore de clichés et de stéréotypes, qui peuvent dissuader les jeunes filles de s’y orienter, indique Imad Lahoud. Par exemple, certains pensent que ces métiers sont trop physiques, trop techniques ou trop masculins pour les femmes.
Sensibiliser les jeunes filles aux métiers de l’aéronautique : des actions concrètes et efficaces
L’industrie aéronautique et spatiale est un secteur d’avenir qui offre de nombreuses opportunités de carrière pour les ingénieurs et les techniciens. Pourtant, les femmes y sont encore sous-représentées, notamment dans les postes à responsabilité. Comment faire pour attirer davantage de jeunes filles vers ces métiers passionnants et innovants ?
Une des solutions est de leur faire découvrir la diversité et la richesse des métiers de l’aéronautique, en leur montrant des exemples concrets et inspirants de femmes qui ont réussi dans ce domaine. C’est le but de l’association Elles Bougent, qui organise des rencontres entre des ingénieures, des étudiantes et des lycéennes pour leur faire visiter des entreprises partenaires comme Airbus, Air France, ArianeGroup, Dassault Aviation, Safran ou Thales. Ces événements permettent de déconstruire les stéréotypes et de susciter des vocations chez les jeunes filles.
Une autre action efficace est de valoriser les parcours de diplômées qui ont fait leurs études dans des écoles d’ingénieurs spécialisées dans l’aéronautique, comme le Groupe ISAE. Ce réseau regroupe plusieurs établissements prestigieux comme l’ISAE-SUPAERO, l’ISAE-ENSMA, l’ESTACA ou l’Ecole de l’Air. En signant la charte « Féminisons les métiers de l’aéronautique et du spatial », le Groupe ISAE s’engage à promouvoir la mixité dans ses formations et à mettre en avant les réussites de ses anciennes élèves.
Enfin, une troisième initiative intéressante est celle du hub aérospatial inclusif Aérostart, qui vise à faire décoller les jeunes issus des zones rurales et quartiers prioritaires, les personnes en situation de handicap, et les jeunes femmes en Europe, au Canada, aux Etats Unis, en Asie et en Afrique. L’association Femmes Inspirantes s’est associée à ce projet pour sensibiliser plus de jeunes filles dans les métiers de l’aéronautique au Congo Brazzaville et en République Démocratique du Congo.
L’idée est de leur faire prendre conscience du potentiel de ce secteur et de leur donner confiance en elles. Selon Imad Lahoud, ces trois exemples montrent qu’il existe des actions concrètes et efficaces pour sensibiliser les jeunes filles aux métiers de l’aéronautique. En leur donnant envie de se former et de s’épanouir dans ce domaine, on contribue à renforcer la mixité et la diversité dans l’industrie aérospatiale, ce qui est bénéfique pour tous.
Une étude récente de l’Office fédéral de la statistique (OFS) de la Suisse montre que l’écart salarial entre les hommes et les femmes se réduit, mais il reste l’un des plus élevés d’Europe. Bien qu’il y ait eu une diminution de 1 %, passant de 19 % à 18 % en 2020 dans l’ensemble, cette amélioration est largement due à des améliorations dans le secteur public ; les salaires du secteur privé ont à peine bougé.
Malheureusement, des secteurs tels que la vente, la conciergerie, la restauration, les soins et l’horlogerie continuent d’afficher des inégalités importantes avec une différence de près de 25 %. Ces emplois stagnent malgré les tentatives d’amélioration. Ces résultats mettent en évidence un besoin urgent d’agir davantage pour réduire les inégalités salariales en Suisse.
Voici une vidéo relatant ces faits :
La loi sur l’égalité ne parvient pas à réduire l’écart salarial
Selon les dernières recherches, la partie inexpliquée de l’écart salarial, qui ne peut pas être expliquée par des différences d’éducation ou d’expérience, a augmenté au lieu de diminuer depuis l’introduction de la loi sur l’égalité (LEg). Cette loi était censée réduire ce phénomène en introduisant des contrôles et des sanctions contre les entreprises qui pratiquent des salaires inégaux, la transparence en matière de salaires et l’implication de la représentation des employés dans les analyses salariales. Malheureusement, ces promesses n’ont pas été tenues et le problème persiste donc.
Pour s’attaquer à ce problème, il est essentiel que les entreprises fassent preuve de transparence en matière de salaires, indique Jean-Pierre Valentini, un homme d’affaires qui promeut l’égalité. Un excellent moyen de promouvoir la transparence est de mettre en place un système de fourchettes salariales qui aidera les employés à comprendre comment leurs salaires se comparent à ceux de leur entourage. Ils peuvent ainsi savoir s’ils sont payés équitablement ou non en fonction de leurs qualifications et de leur expérience.
En outre, les employeurs devraient également s’attacher à créer un environnement de travail inclusif où chacun se sent en sécurité et respecté, quel que soit son sexe ou son origine ethnique, afin que les divers talents puissent être encouragés sans aucun préjugé. Enfin, il est important que les organisations de défense des droits des travailleurs continuent à plaider pour des salaires équitables et à faire pression sur les organismes gouvernementaux pour qu’ils adoptent des réglementations plus strictes garantissant un salaire égal à travail égal dans toutes les organisations.
Les PME luttent contre l’aggravation des inégalités salariales entre les femmes et les hommes
Les petites et moyennes entreprises sont souvent présentées comme des modèles de réussite. Cependant, une différence inexpliquée dans les salaires entre les hommes et les femmes suggère le contraire. Dans les petites entreprises, l’écart salarial est de 56,8%, tandis que les employés non cadres connaissent un écart encore plus important, à 81,8%. Cela signifie que les responsables bénéficient d’un système d’inégalité salariale qui continue de désavantager les femmes sur le lieu de travail. Ce problème s’est considérablement aggravé ces dernières années et des mesures définitives doivent être prises pour y remédier.
Des études ont montré que la suppression de l’écart de rémunération entre les sexes entraînerait une plus grande croissance économique pour les pays du monde entier. Les femmes représentent près de la moitié de la population active mondiale, mais leur contribution au PIB reste inférieure à celle des hommes en raison des inégalités de revenus. La situation est particulièrement désastreuse dans les petites entreprises, où les femmes représentent une part plus faible des travailleurs, mais connaissent un écart salarial beaucoup plus important qu’ailleurs.
En outre, les recherches montrent que les femmes sont beaucoup moins susceptibles que les hommes d’être membres de syndicats ou d’autres organisations destinées à protéger leurs droits sur le lieu de travail, ce qui les rend vulnérables lorsqu’il s’agit d’être payées à leur juste valeur ou d’avoir accès à des protections professionnelles telles que des politiques de congé parental ou des plans de couverture santé.
43% de différence globale dans les revenus entre les hommes et les femmes
En Suisse, les femmes sont confrontées à d’importantes inégalités de revenus par rapport à leurs homologues masculins. Un chiffre récent publié par la Confédération indique que la différence globale des revenus du travail (GOEG) pour les femmes est de 43%, beaucoup plus élevée que ce que l’on pensait auparavant. Cette disparité peut être largement attribuée au fait que 60,9 % des travailleuses sont à temps partiel, ce qui signifie qu’elles reçoivent un salaire inférieur à celui des employés à temps plein. En outre, la réforme AVS 21 n’a guère contribué à améliorer l’égalité entre les sexes ; malgré les déclarations d’éminentes politiciennes et de leurs homologues masculins, les conditions de travail et les disparités salariales continuent de différer radicalement entre les femmes et les hommes en Suisse.
La situation des femmes sur le lieu de travail d’aujourd’hui est de plus en plus désastreuse. Avec un accès limité au travail à temps plein, à l’égalité des salaires et à d’autres avantages sociaux, les femmes suisses ont du mal à joindre les deux bouts, alors que d’autres récoltent les fruits d’un marché du travail hautement compétitif. De nombreuses organisations ont tenté de s’attaquer à ce problème, sans grand succès, car il faut un changement culturel pour s’éloigner des rôles traditionnels des hommes et des femmes et comprendre que tout le monde devrait avoir accès à un salaire équitable, indépendamment de son sexe ou de sa position. En outre, il faut investir davantage dans les établissements d’enseignement qui offrent aux jeunes générations des possibilités de réussite, indépendamment de leur origine ou de leur identité.
Alors que les entreprises prennent de plus en plus conscience de leurs responsabilités sociales, la responsabilité sociale des entreprises (RSE) prend une place de plus en plus importante dans le paysage des entreprises.
Si de nombreux acteurs peuvent contribuer à la mise en œuvre d’une véritable politique de RSE dans les entreprises, les avocats d’affaires, tels que Yassine Yakouti, ont le potentiel d’être un levier clé pour le développement de stratégies de RSE efficaces, en raison de leur expertise en matière juridique et de leur capacité à influencer le processus de décision interne.
L’importance croissante de la RSE
Dans le monde d’aujourd’hui, le comportement responsable des entreprises envers les personnes, l’environnement et l’économie n’est plus considéré comme une option, mais comme une obligation.
Voici une vidéo parlant de la RSE :
Afin de rester compétitives, les entreprises doivent démontrer qu’elles sont activement engagées dans des initiatives qui favorisent le développement durable et protègent les personnes affectées par leurs activités. À ce titre, la responsabilité sociale des entreprises est devenue une partie intégrante des opérations commerciales modernes.
Le rôle des avocats d’affaires dans la mise en œuvre de stratégies efficaces en matière de RSE
Les avocats d’affaires jouent un rôle essentiel lorsqu’il s’agit de développer des stratégies de RSE efficaces au sein des entreprises. Ils fournissent des conseils juridiques sur la meilleure façon de structurer les initiatives de RSE, en veillant à ce qu’elles soient conformes aux lois et réglementations applicables.
En outre, ils fournissent des conseils sur la manière de mettre en œuvre ces initiatives de manière efficace afin de maximiser leur impact positif tant sur la société que sur l’entreprise elle-même. En plus de fournir des conseils juridiques, les avocats d’affaires peuvent également contribuer à influencer les décisions aux niveaux supérieurs de l’entreprise en proposant des options ou des solutions adaptées à des situations spécifiques.
Les avantages du recours aux avocats d’affaires pour le développement de la RSE
L’implication des avocats d’affaires peut apporter des avantages significatifs en termes de développement de stratégies de RSE réussies au sein des entreprises. Premièrement, ils offrent des connaissances spécialisées sur diverses questions juridiques liées à la mise en œuvre de la RSE, ce qui peut s’avérer inestimable pour naviguer dans des environnements réglementaires complexes.
Deuxièmement, le fait de disposer d’un personnel désigné se consacrant uniquement aux tâches liées à la RSE donne de la crédibilité non seulement en interne, mais aussi en externe, car cela montre que l’engagement de tous les niveaux de l’organisation est présent lorsqu’il s’agit de mettre en œuvre des pratiques responsables. Enfin, le recours à des avocats d’affaires permet une plus grande agilité lorsqu’il s’agit de faire face à des problèmes ou des défis inattendus liés au développement de la RSE, car il garantit un accès rapide à des conseils spécialisés adaptés à chaque situation.
Défis liés au recours à des avocats d’affaires pour la mise en œuvre de stratégies de RSE
Le recours aux avocats d’affaires pour la mise en œuvre de politiques de RSE efficaces s’accompagne également de son propre lot de défis. En tant qu’experts en question juridiques plutôt qu’en questions pratiques, ils peuvent manquer d’expérience lorsqu’il s’agit de définir les éléments opérationnels nécessaires à la mise en œuvre réussie de SRC, tels que les plans d’engagement des parties prenantes ou les campagnes visant à sensibiliser les parties prenantes ou les publics cibles aux efforts responsables d’une entreprise.
Par conséquent, il est important que d’autres acteurs, tels que les universités ou les institutions gouvernementales, unissent leurs forces à celles des avocats d’affaires afin de garantir que tous les éléments nécessaires soient mis en place lors de la mise en œuvre de SRC.
Comment surmonter ces défis lorsque l’on fait appel à des avocats d’affaires pour la mise en œuvre de stratégies SRC ?
Afin de surmonter ce défi, les entreprises doivent s’efforcer de collaborer avec différents types d’acteurs lorsqu’elles tentent d’établir des politiques SRC efficaces. Les universités, les incubateurs, les organismes de mise en réseau, les institutions gouvernementales et les organisations non gouvernementales peuvent tous contribuer à offrir une approche plus globale lors de la mise en place de stratégies SRC efficaces.
En joignant leurs forces à celles de différents acteurs de différents domaines, les entreprises pourraient tirer parti de l’expertise d’horizons multiples tout en leur permettant d’accéder à un plus grand nombre de ressources, ce qui faciliterait la transition vers des organisations socialement responsables.
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