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L’inégalité salariale en Suisse est encore trop élevée

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L'inégalité salariale en Suisse

Une étude récente de l’Office fédéral de la statistique (OFS) de la Suisse montre que l’écart salarial entre les hommes et les femmes se réduit, mais il reste l’un des plus élevés d’Europe. Bien qu’il y ait eu une diminution de 1 %, passant de 19 % à 18 % en 2020 dans l’ensemble, cette amélioration est largement due à des améliorations dans le secteur public ; les salaires du secteur privé ont à peine bougé.

Malheureusement, des secteurs tels que la vente, la conciergerie, la restauration, les soins et l’horlogerie continuent d’afficher des inégalités importantes avec une différence de près de 25 %. Ces emplois stagnent malgré les tentatives d’amélioration. Ces résultats mettent en évidence un besoin urgent d’agir davantage pour réduire les inégalités salariales en Suisse.

Voici une vidéo relatant ces faits :

La loi sur l’égalité ne parvient pas à réduire l’écart salarial

Selon les dernières recherches, la partie inexpliquée de l’écart salarial, qui ne peut pas être expliquée par des différences d’éducation ou d’expérience, a augmenté au lieu de diminuer depuis l’introduction de la loi sur l’égalité (LEg). Cette loi était censée réduire ce phénomène en introduisant des contrôles et des sanctions contre les entreprises qui pratiquent des salaires inégaux, la transparence en matière de salaires et l’implication de la représentation des employés dans les analyses salariales. Malheureusement, ces promesses n’ont pas été tenues et le problème persiste donc.

Inégalité salariale en Suisse
Source : Pixabay.

Pour s’attaquer à ce problème, il est essentiel que les entreprises fassent preuve de transparence en matière de salaires, indique Jean-Pierre Valentini, un homme d’affaires qui promeut l’égalité. Un excellent moyen de promouvoir la transparence est de mettre en place un système de fourchettes salariales qui aidera les employés à comprendre comment leurs salaires se comparent à ceux de leur entourage. Ils peuvent ainsi savoir s’ils sont payés équitablement ou non en fonction de leurs qualifications et de leur expérience.

En outre, les employeurs devraient également s’attacher à créer un environnement de travail inclusif où chacun se sent en sécurité et respecté, quel que soit son sexe ou son origine ethnique, afin que les divers talents puissent être encouragés sans aucun préjugé. Enfin, il est important que les organisations de défense des droits des travailleurs continuent à plaider pour des salaires équitables et à faire pression sur les organismes gouvernementaux pour qu’ils adoptent des réglementations plus strictes garantissant un salaire égal à travail égal dans toutes les organisations.

Les PME luttent contre l’aggravation des inégalités salariales entre les femmes et les hommes

Les petites et moyennes entreprises sont souvent présentées comme des modèles de réussite. Cependant, une différence inexpliquée dans les salaires entre les hommes et les femmes suggère le contraire. Dans les petites entreprises, l’écart salarial est de 56,8%, tandis que les employés non cadres connaissent un écart encore plus important, à 81,8%. Cela signifie que les responsables bénéficient d’un système d’inégalité salariale qui continue de désavantager les femmes sur le lieu de travail. Ce problème s’est considérablement aggravé ces dernières années et des mesures définitives doivent être prises pour y remédier.

Inégalité des salaires en Suisse
Source : Pixabay.

Des études ont montré que la suppression de l’écart de rémunération entre les sexes entraînerait une plus grande croissance économique pour les pays du monde entier. Les femmes représentent près de la moitié de la population active mondiale, mais leur contribution au PIB reste inférieure à celle des hommes en raison des inégalités de revenus. La situation est particulièrement désastreuse dans les petites entreprises, où les femmes représentent une part plus faible des travailleurs, mais connaissent un écart salarial beaucoup plus important qu’ailleurs.

En outre, les recherches montrent que les femmes sont beaucoup moins susceptibles que les hommes d’être membres de syndicats ou d’autres organisations destinées à protéger leurs droits sur le lieu de travail, ce qui les rend vulnérables lorsqu’il s’agit d’être payées à leur juste valeur ou d’avoir accès à des protections professionnelles telles que des politiques de congé parental ou des plans de couverture santé.

43% de différence globale dans les revenus entre les hommes et les femmes

En Suisse, les femmes sont confrontées à d’importantes inégalités de revenus par rapport à leurs homologues masculins. Un chiffre récent publié par la Confédération indique que la différence globale des revenus du travail (GOEG) pour les femmes est de 43%, beaucoup plus élevée que ce que l’on pensait auparavant. Cette disparité peut être largement attribuée au fait que 60,9 % des travailleuses sont à temps partiel, ce qui signifie qu’elles reçoivent un salaire inférieur à celui des employés à temps plein. En outre, la réforme AVS 21 n’a guère contribué à améliorer l’égalité entre les sexes ; malgré les déclarations d’éminentes politiciennes et de leurs homologues masculins, les conditions de travail et les disparités salariales continuent de différer radicalement entre les femmes et les hommes en Suisse.

L'inégalité de salaires en Suisse
Source : Pixabay.

La situation des femmes sur le lieu de travail d’aujourd’hui est de plus en plus désastreuse. Avec un accès limité au travail à temps plein, à l’égalité des salaires et à d’autres avantages sociaux, les femmes suisses ont du mal à joindre les deux bouts, alors que d’autres récoltent les fruits d’un marché du travail hautement compétitif. De nombreuses organisations ont tenté de s’attaquer à ce problème, sans grand succès, car il faut un changement culturel pour s’éloigner des rôles traditionnels des hommes et des femmes et comprendre que tout le monde devrait avoir accès à un salaire équitable, indépendamment de son sexe ou de sa position. En outre, il faut investir davantage dans les établissements d’enseignement qui offrent aux jeunes générations des possibilités de réussite, indépendamment de leur origine ou de leur identité.

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Martha Stewart : une femme d’affaires inspirante

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Le portrait de Martha Stewart

Martha Stewart est une femme d’affaires américaine qui a créé un empire médiatique et de décoration intérieure, Martha Stewart Living Omnimedia, Inc. Elle est connue pour ses livres, ses magazines, ses émissions de télévision et ses produits sur la cuisine, l’art de recevoir et le bricolage. Voici son parcours exceptionnel et ses conseils pour réussir.

Ses débuts

Martha Stewart est née le 3 août 1941 à Jersey City, dans le New Jersey. Elle est la deuxième de six enfants d’une famille d’origine polonaise. Ses parents étaient tous les deux enseignants, mais son père a ensuite travaillé comme vendeur de médicaments. 

Dès son enfance, Martha Stewart apprend à cuisiner et à coudre avec sa mère.  Elle développe aussi une passion pour le jardinage avec son père.  Elle commence à travailler comme mannequin à l’âge de 13 ans, apparaissant dans des défilés de mode, des publicités télévisées et des magazines. 

Voici une vidéo relatant la carrière de Martha Stewart en anglais :

Elle poursuit ses études à Barnard College, à Manhattan, où elle obtient un diplôme en histoire européenne et architecturale en 1962. Elle y rencontre Andy Stewart, un étudiant en droit à Yale, qu’elle épouse en 1961. Six ans plus tard, après la naissance de leur fille Alexis, Martha Stewart devient courtière en bourse pour la firme Monness, Williams et Sidel. Elle travaille à Wall Street jusqu’en 1972, année où la famille déménage à Westport, dans le Connecticut. 

Son ascension

Après avoir restauré la ferme du XIXe siècle qu’ils avaient achetée, Martha Stewart décide de se consacrer à la cuisine gastronomique, qu’elle s’est enseignée en lisant le livre de Julia Child Maîtriser l’art de la cuisine française. Elle lance une entreprise de traiteur à la fin des années 1970, et se fait rapidement remarquer pour ses menus raffinés et sa présentation créative. En moins de dix ans, Martha Stewart, Inc., devient une entreprise d’un million de dollars qui sert des clients prestigieux et célèbres. 

Martha Stewart se lance ensuite dans le monde de l’édition avec son premier livre, Entertaining, qui devient un best-seller et qui est suivi par d’autres publications telles que Martha Stewart’s Quick Cook Menus, Martha Stewart’s Hors d’Oeuvres, Martha Stewart’s Christmas et Martha Stewart’s Wedding Planner. Sa notoriété grandissante a un impact négatif sur sa vie personnelle, puisque son mariage avec Andy se termine par un divorce en 1990, après une séparation difficile de trois ans. 

En 1991, Martha Stewart, Inc., devient Martha Stewart Living Omnimedia, Inc., avec le lancement de son magazine, Martha Stewart Living. L’empire du style de vie de Martha Stewart s’étend bientôt à deux magazines, une publication de recettes au format poche, une émission de télévision populaire sur le câble, une chronique syndiquée dans les journaux, une série de livres pratiques, une émission de radio, un site Internet et 763 millions de dollars de ventes annuelles au détail. Le 19 octobre 1999, la plus célèbre femme au foyer d’Amérique retourne à Wall Street pour voir son entreprise faire son entrée en bourse au New York Stock Exchange. À la fin de la journée, le prix de chacune des 72 millions d’actions de Martha Stewart Living Omnimedia, Inc. avait augmenté de plus de 95 % et rapporté près de 130 millions de dollars. 

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Élisabeth Borne, la première ministre qui vient de la gauche et de l’écologie

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Le parcours d'Elisabeth Borne.

Élisabeth Borne est la nouvelle première ministre de la France depuis le 16 mai 2022. Elle succède à Jean Castex, qui a démissionné après la défaite de la majorité présidentielle aux élections régionales. C’est la première fois qu’une femme occupe ce poste depuis Edith Cresson en 1991-1992. Qui est cette femme d’État qui a gravi les échelons de la haute fonction publique et de la politique ?

Une polytechnicienne au service de l’État

Née le 18 avril 1961 à Paris, Élisabeth Borne est issue d’une famille modeste. Son père est ouvrier et sa mère est secrétaire. Elle fait des études brillantes et intègre l’École polytechnique en 1980, à une époque où les femmes y sont encore rares. Elle poursuit sa formation à l’École nationale des ponts et chaussées et devient ingénieure générale des ponts et chaussées.

Voici une vidéo présentant cette femme :

Elle commence sa carrière au ministère de l’Équipement, où elle occupe différents postes liés à l’aménagement du territoire, aux transports et à l’environnement. Elle est notamment chargée de la préparation du sommet de la Terre de Rio en 1992 et du plan Climat de 2004. Elle devient directrice régionale de l’équipement d’Île-de-France en 2007, puis préfète de Poitou-Charentes en 2013.

Une proche de Ségolène Royal et d’Emmanuel Macron

En 2014, elle rejoint le cabinet de Ségolène Royal, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, comme directrice de cabinet. Elle y travaille sur des dossiers comme la transition énergétique, la loi sur la biodiversité ou la COP21. Elle se lie d’amitié avec Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, qui apprécie son pragmatisme et son sens du dialogue.

En 2015, elle quitte le gouvernement pour prendre la présidence de la RATP, l’entreprise publique qui gère les transports en commun parisiens. Elle y mène une politique ambitieuse de modernisation du réseau, d’extension du métro et de développement des modes doux comme le vélo ou le covoiturage. Elle affronte aussi plusieurs mouvements sociaux, notamment contre la réforme des retraites en 2019.

Une ministre aux multiples casquettes

En 2017, elle fait partie des personnalités issues de la gauche qui soutiennent Emmanuel Macron lors de l’élection présidentielle. Elle est nommée ministre chargée des Transports au sein du gouvernement d’Édouard Philippe. Elle y défend le projet de loi d’orientation des mobilités (LOM), qui vise à favoriser les alternatives à la voiture individuelle, à accélérer la transition écologique des transports et à rénover les infrastructures.

En 2019, elle devient ministre de la Transition écologique et solidaire, après la démission de François de Rugy. Elle hérite d’un portefeuille élargi, qui comprend aussi l’énergie, le logement ou les relations avec les collectivités territoriales. Elle doit faire face à plusieurs crises, comme l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, les tensions autour du projet d’éoliennes offshore à Saint-Brieuc ou la gestion de la pandémie de Covid-19.

En 2020, elle est nommée ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion dans le gouvernement de Jean Castex. Elle a pour mission de limiter les conséquences sociales et économiques de la crise sanitaire, en soutenant l’activité partielle, en favorisant le télétravail ou en accompagnant les jeunes vers l’emploi. Elle doit aussi mener à bien la réforme controversée.

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Sexfriend : le mode d’emploi

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Tout sur le sexfriend

Vous vous demandez comment entretenir une relation basée uniquement sur le sexe, sans engagement sentimental ? Vous voulez savoir quels sont les avantages et les inconvénients de ce type de relation ?

Un sexfriend est une personne avec qui on a des rapports sexuels réguliers ou occasionnels, sans être amoureux ni en couple. C’est une forme de relation libre et sans contrainte, qui repose sur le respect mutuel et la confiance. Le sex friend n’est pas un partenaire romantique, mais plutôt un ami avec qui on partage du plaisir charnel.

Le principal avantage d’un sexfriend est qu’il n’implique pas de s’engager sur le plan sentimental. En effet, le sexfriend ne concerne que l’aspect sexuel. On peut ainsi profiter de sa liberté, sans avoir à rendre des comptes ni à faire des compromis. On peut aussi avoir plusieurs sexfriends en même temps, à condition d’être honnête et de se protéger. Le sexfriend peut aussi être une façon de combler un manque affectif ou de se remettre d’une rupture.

Voici une vidéo parlant de ce type de relation :

Comment trouver un sexfriend ?

Trouver un sexfriend peut être une expérience enrichissante et agréable, à condition de respecter quelques règles de base. Un sex friend est une personne avec qui vous partagez une relation sexuelle sans engagement ni sentiment amoureux.

Pour trouver un sexfriend, il faut d’abord savoir ce que vous cherchez et ce que vous êtes prêt à offrir. Il ne s’agit pas de tomber amoureux ou de se mettre en couple, mais de profiter d’une complicité physique et d’une confiance mutuelle. Il faut donc être clair sur vos attentes, vos limites et vos envies, et les communiquer à votre partenaire potentiel. Il faut aussi choisir une personne qui partage votre vision de la relation et qui ne risque pas de développer des sentiments ou de vous en demander plus que du sexe.

Il faut aussi multiplier les occasions de rencontrer des personnes qui vous plaisent et qui sont ouvertes à ce type de relation. Vous pouvez utiliser des applications de rencontre, des sites spécialisés ou des réseaux sociaux pour entrer en contact avec des profils qui vous correspondent. Vous pouvez aussi sortir dans des lieux propices aux rencontres, comme des bars, des clubs ou des soirées entre amis. L’important est de rester honnête et respectueux, et de ne pas faire de fausses promesses ou de faux espoirs.

Il faut enfin savoir entretenir la relation sans la compliquer. Il faut éviter de mélanger le sexe et les sentiments, et de confondre le sexfriend avec un ami ou un amant. Il faut aussi respecter la vie privée et la liberté de l’autre, et ne pas être jaloux ou possessif. Il faut enfin savoir mettre fin à la relation si elle ne vous convient plus ou si l’un de vous deux veut changer de statut. Le but est de prendre du plaisir sans se prendre la tête.

Comment gérer une relation en sexfriend ?

Une relation sex friend est une relation basée uniquement sur le sexe, sans engagement ni sentiment. C’est une façon de profiter du plaisir charnel sans les contraintes d’une relation amoureuse. Mais comment gérer une relation sex friend sans se faire mal ou blesser l’autre ? Voici quelques conseils pour réussir ce type de relation.

Premièrement, il faut être clair sur ses attentes et ses limites. Il faut discuter avec son sex friend de ce que l’on recherche dans cette relation, de ce que l’on accepte ou pas, de la fréquence des rapports, de la possibilité de voir d’autres personnes... Il faut aussi respecter les règles établies et ne pas essayer de changer les termes du contrat en cours de route. Il faut éviter de se comporter comme un couple, de se faire des cadeaux, de se présenter à ses amis ou à sa famille…

Deuxièmement, il faut protéger sa santé et celle de son sex friend. Il faut utiliser un préservatif à chaque rapport sexuel, pour se prémunir des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées. Il faut aussi faire des dépistages réguliers et être honnête sur son état de santé. Il faut également veiller à son bien-être émotionnel et ne pas se forcer à avoir des rapports si l’on n’en a pas envie ou si l’on se sent mal.

Troisièmement, il faut savoir mettre fin à la relation si elle ne nous convient plus ou si l’un des deux développe des sentiments. Il faut être attentif aux signes qui montrent que la relation devient trop sérieuse ou trop compliquée, comme la jalousie, la possessivité, la dépendance… Il faut alors avoir le courage de rompre avec son sex friend, en lui expliquant les raisons de son choix et en restant respectueux. Il faut éviter de le ghoster, de lui mentir ou de lui faire du mal.

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