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(#)À notre place !

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La validation masculine des combats féministes (quand les hommes prennent la parole et s’emparent de l’espace médiatique)

Extrait de la dite vidéo du mouvement dont on ne divulguera pas le lien

Vous n’avez pas pu la manquer… Le mouvement féministe ‘’ni putes ni soumises’’ a sorti une vidéo sur le harcèlement de rue. Cette dernière a beaucoup circulé au cours des dernières semaines et affiche le slogan #ànotreplace. Elle met en scène un homme qui, maquillé et travesti pendant plus de deux heures, affronte l’extérieur. Antoine découvre alors les ennuis quotidiens des femmes dans l’espace public. Entouré d’une équipe de complices (des personnes de la sécurité et des caméramans), des inconnus lui lancent des remarques, commentent son physique, s’approchent de lui, voire tentent un contact. Antoine se met en scène dans différents lieux : dans la rue, assis à un arrêt de bus, devant et dans un bar, dans les couloirs du métro, dans les rames de métro. Tous ces lieux communs qu’il fréquente chaque jour mais qu’il redécouvre en tant que femme.

La vidéo alterne entre les images filmées dans ces lieux publics et le témoignage d’Antoine qui décrit et partage ce qu’il a pu ressentir. Le slogan de la vidéo, ‘’à notre place’’, arrive sur le tard même si on comprend rapidement de quoi il est question.

Sur le site officiel de Ni putes ni soumises, on découvre les intentions de cette campagne.

’Le harcèlement sévit dans nos rues. Dans un pays où les droits des femmes sont supposément acquis, comment de telles violences peuvent-elles faire partie du quotidien de si nombreuses femmes ? A travers cette expérience, nous avons souhaité offrir une vision objective de ce qui se passe réellement dans la rue, de ces violences si courantes qu’elles en deviennent banales, à tort. Il semble nécessaire aujourd’hui de redéfinir ensemble les bases du respect, un respect essentiel au quotidien de toutes et tous. Cette campagne choc réalisée sans trucage projette les hommes dans la journée d’une femme, afin qu’ensemble, nous prenions conscience de la violence quotidienne exercée dans la rue.’’

L’assurance par l’expérience

L’objectif de la vidéo apparaît donc clairement. Puisque les problèmes de violences verbales et d’harcèlement dans l’espace public ne sont pas entendus, il faudrait que les hommes se mettent à la place des femmes, au sens propre, pour qu’ils puissent prendre conscience de ces problématiques. Il faut toujours tester pour comprendre, expérimenter pour s’assurer.

Antoine ne peut pas conscientiser seul le problème, il doit se mettre à la place. Il doit forcément porter une perruque de cheveux longs, beaucoup de maquillage et une tenue très féminine. On lui rajoute des formes, des fesses, des seins. Cela décrédibilise par ailleurs le fait que n’importe quelle femme puisse être importunée. Pas besoin de porter une jupe ou des talons pour subir le harcèlement de rue. Il décrit la finalité de cette transformation comme ‘’un passage de l’autre côté’’. Comme si des témoignages ou des vidéos explicites de femmes ne suffisaient pas.

Et si on avait simplement filmé une femme ?

On pourrait imaginer cette vidéo sans besoin de travestissement de la part d’Antoine. On pourrait même imaginer suivre simplement une femme dans son quotidien. Cependant la réalisation a préféré utiliser un homme pour rendre compte de l’ampleur du phénomène.

Si ce genre de vidéos doit être réalisé, on comprend que le problème réside dans le peu d’écoute de la prise de parole des femmes, qui sont pourtant de plus en plus nombreuses. Souvent les prises de parole amènent à une déception car il y a un manque de soutien et de réactions ou bien parce que ces déclarations sont remises en cause. On soutiendra plutôt une version plus nuancée, pleine de « non je comprends mais… ». Ce manque d’écoute se ressent particulièrement dans notre actualité notamment dans le traitement des violences mentales et physiques.

Parler est la première étape pour essayer de sortir de ces violences. Cependant, ces dénonciations sont parfois/souvent relativisées ou décriées, on spécule : il s’agit d’un mensonge, d’une vengeance ou d’un besoin matériel. C’est un problème également lié à la non-réaction de la part des services de police, qui enregistrent de nombreuses plaintes sans donner suite. Plusieurs femmes décédées dans les derniers mois (136 depuis le début de l’année 2019 à ce jour) avaient auparavant porté plainte. Même si les procédures évoluent et qu’il commence à y avoir des dispositifs pour prévenir les violences conjugales ainsi que protéger les victimes, il y a encore du chemin à faire.

Plus d’informations sur https://www.demarches.interieur.gouv.fr/particuliers/violence-conjugale pour voir les différentes démarches proposées aux victimes.

Aujourd’hui, les violences de rue sont, quant à elles, encore peu voire non récriminées, alors qu’elles sont quotidiennes et dénoncées.

https://www.neonmag.fr/harcelement-de-rue-plus-de-700-contraventions-pour-outrage-sexiste-recensees-en-un-an-534762.html

Selon cet article datant du 6 août 2019, 713 contraventions ont été émises en France entre le moment où la loi est passée et août. Ce nombre est certes faible comparé aux quelques 86% des femmes qui se disent être ou avoir été victimes de harcèlement de rue (selon une étude récente d’octobre 2018 de l’Ifop), mais il prouve tout de même que des mesures commencent à être prises bien qu’elles soient encore symboliques.

La validation masculine au cœur du débat

On se retrouve face au problème récurrent du manque d’accès des femmes à la parole ; elles qui peinent à se faire entendre. Or, cette vidéo est justement devenue virale par son concept d’utiliser un homme. On peut également se remémorer la vidéo où deux hommes s’essayaient aux douleurs des règles. Des électrodes étaient placées sur leur ventre et envoyaient des chocs plus ou moins importants. Leurs visages témoignaient d’un profond choc en découvrant la souffrance qu’ils n’avaient jamais imaginé aussi intense. Que se passe-t-il donc quand les hommes prennent la parole ‘’à la place’’ des femmes ? C’est le serpent qui se mord la queue.

A ce titre, on pourrait penser au film Je ne suis pas un homme facile, un film Netflix français réalisé par Eléonore Pourriat en 2018. Dans ce film, Damien le protagoniste prend un coup sur la tête et se retrouve dans une société où le pouvoir est détenu par les femmes. Ce film se veut partisan et a pour objectif de pointer du doigt les inégalités. Comme dans la vidéo, il faut que l’homme se mette « à la place » pour qu’ils se rendent compte de l’ampleur et de la gravité des inégalités. Cependant dans le film, la situation a été renversée sans comprendre réellement les revendications des femmes mais au contraire en créant une société dictatoriale machiste au féminin…

‘’J’ai eu peur qu’on me regarde comme un morceau de viande’’

‘’J’ai eu peur qu’on me dise des remarques auxquelles je ne saurais pas répondre, j’ai eu peur qu’on ait des comportements irrespectueux et pas justes face à moi’’

Les phrases prononcées par Antoine dans la vidéo ont pour objectif, atteint partiellement, de conscientiser. Cependant, il reste important de laisser la parole aux femmes et encore plus important de les écouter. C’est notamment le projet de l’association Stop Harcèlement de rue qui lutte contre le harcèlement via des ressources pour les victimes, des témoignages, ainsi que démarches pédagogues afin d’éduquer sur ces réalités.

Pour en savoir plus : http://www.stopharcelementderue.org

Par Camille BRAUER

A lire : le glaçant Vox de Christina Dalcher, dystopie où les femmes ont été réduites au silence à l’aide d’un bracelet compte-mots qui ne les autorise qu’à dire 100 mots par jour… entre féminisme et pouvoir du langage.

À écouter : le podcast YESSS notamment le premier épisode ‘’Warriors de l’espace public’’ : ‘’Dans YESSS, on a envie de se faire du bien en recueillant et en écoutant les témoignages de celles qui ont répliqué, celles qui ont rembarré. Aujourd’hui, dans l’espace public face aux agressions, nos warriors racontent leur victoire‘’

Source de la photo d’en-tête

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Martha Stewart : une femme d’affaires inspirante

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Le portrait de Martha Stewart

Martha Stewart est une femme d’affaires américaine qui a créé un empire médiatique et de décoration intérieure, Martha Stewart Living Omnimedia, Inc. Elle est connue pour ses livres, ses magazines, ses émissions de télévision et ses produits sur la cuisine, l’art de recevoir et le bricolage. Voici son parcours exceptionnel et ses conseils pour réussir.

Ses débuts

Martha Stewart est née le 3 août 1941 à Jersey City, dans le New Jersey. Elle est la deuxième de six enfants d’une famille d’origine polonaise. Ses parents étaient tous les deux enseignants, mais son père a ensuite travaillé comme vendeur de médicaments. 

Dès son enfance, Martha Stewart apprend à cuisiner et à coudre avec sa mère.  Elle développe aussi une passion pour le jardinage avec son père.  Elle commence à travailler comme mannequin à l’âge de 13 ans, apparaissant dans des défilés de mode, des publicités télévisées et des magazines. 

Voici une vidéo relatant la carrière de Martha Stewart en anglais :

Elle poursuit ses études à Barnard College, à Manhattan, où elle obtient un diplôme en histoire européenne et architecturale en 1962. Elle y rencontre Andy Stewart, un étudiant en droit à Yale, qu’elle épouse en 1961. Six ans plus tard, après la naissance de leur fille Alexis, Martha Stewart devient courtière en bourse pour la firme Monness, Williams et Sidel. Elle travaille à Wall Street jusqu’en 1972, année où la famille déménage à Westport, dans le Connecticut. 

Son ascension

Après avoir restauré la ferme du XIXe siècle qu’ils avaient achetée, Martha Stewart décide de se consacrer à la cuisine gastronomique, qu’elle s’est enseignée en lisant le livre de Julia Child Maîtriser l’art de la cuisine française. Elle lance une entreprise de traiteur à la fin des années 1970, et se fait rapidement remarquer pour ses menus raffinés et sa présentation créative. En moins de dix ans, Martha Stewart, Inc., devient une entreprise d’un million de dollars qui sert des clients prestigieux et célèbres. 

Martha Stewart se lance ensuite dans le monde de l’édition avec son premier livre, Entertaining, qui devient un best-seller et qui est suivi par d’autres publications telles que Martha Stewart’s Quick Cook Menus, Martha Stewart’s Hors d’Oeuvres, Martha Stewart’s Christmas et Martha Stewart’s Wedding Planner. Sa notoriété grandissante a un impact négatif sur sa vie personnelle, puisque son mariage avec Andy se termine par un divorce en 1990, après une séparation difficile de trois ans. 

En 1991, Martha Stewart, Inc., devient Martha Stewart Living Omnimedia, Inc., avec le lancement de son magazine, Martha Stewart Living. L’empire du style de vie de Martha Stewart s’étend bientôt à deux magazines, une publication de recettes au format poche, une émission de télévision populaire sur le câble, une chronique syndiquée dans les journaux, une série de livres pratiques, une émission de radio, un site Internet et 763 millions de dollars de ventes annuelles au détail. Le 19 octobre 1999, la plus célèbre femme au foyer d’Amérique retourne à Wall Street pour voir son entreprise faire son entrée en bourse au New York Stock Exchange. À la fin de la journée, le prix de chacune des 72 millions d’actions de Martha Stewart Living Omnimedia, Inc. avait augmenté de plus de 95 % et rapporté près de 130 millions de dollars. 

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Élisabeth Borne, la première ministre qui vient de la gauche et de l’écologie

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Le parcours d'Elisabeth Borne.

Élisabeth Borne est la nouvelle première ministre de la France depuis le 16 mai 2022. Elle succède à Jean Castex, qui a démissionné après la défaite de la majorité présidentielle aux élections régionales. C’est la première fois qu’une femme occupe ce poste depuis Edith Cresson en 1991-1992. Qui est cette femme d’État qui a gravi les échelons de la haute fonction publique et de la politique ?

Une polytechnicienne au service de l’État

Née le 18 avril 1961 à Paris, Élisabeth Borne est issue d’une famille modeste. Son père est ouvrier et sa mère est secrétaire. Elle fait des études brillantes et intègre l’École polytechnique en 1980, à une époque où les femmes y sont encore rares. Elle poursuit sa formation à l’École nationale des ponts et chaussées et devient ingénieure générale des ponts et chaussées.

Voici une vidéo présentant cette femme :

Elle commence sa carrière au ministère de l’Équipement, où elle occupe différents postes liés à l’aménagement du territoire, aux transports et à l’environnement. Elle est notamment chargée de la préparation du sommet de la Terre de Rio en 1992 et du plan Climat de 2004. Elle devient directrice régionale de l’équipement d’Île-de-France en 2007, puis préfète de Poitou-Charentes en 2013.

Une proche de Ségolène Royal et d’Emmanuel Macron

En 2014, elle rejoint le cabinet de Ségolène Royal, ministre de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, comme directrice de cabinet. Elle y travaille sur des dossiers comme la transition énergétique, la loi sur la biodiversité ou la COP21. Elle se lie d’amitié avec Emmanuel Macron, alors ministre de l’Économie, qui apprécie son pragmatisme et son sens du dialogue.

En 2015, elle quitte le gouvernement pour prendre la présidence de la RATP, l’entreprise publique qui gère les transports en commun parisiens. Elle y mène une politique ambitieuse de modernisation du réseau, d’extension du métro et de développement des modes doux comme le vélo ou le covoiturage. Elle affronte aussi plusieurs mouvements sociaux, notamment contre la réforme des retraites en 2019.

Une ministre aux multiples casquettes

En 2017, elle fait partie des personnalités issues de la gauche qui soutiennent Emmanuel Macron lors de l’élection présidentielle. Elle est nommée ministre chargée des Transports au sein du gouvernement d’Édouard Philippe. Elle y défend le projet de loi d’orientation des mobilités (LOM), qui vise à favoriser les alternatives à la voiture individuelle, à accélérer la transition écologique des transports et à rénover les infrastructures.

En 2019, elle devient ministre de la Transition écologique et solidaire, après la démission de François de Rugy. Elle hérite d’un portefeuille élargi, qui comprend aussi l’énergie, le logement ou les relations avec les collectivités territoriales. Elle doit faire face à plusieurs crises, comme l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen, les tensions autour du projet d’éoliennes offshore à Saint-Brieuc ou la gestion de la pandémie de Covid-19.

En 2020, elle est nommée ministre du Travail, de l’Emploi et de l’Insertion dans le gouvernement de Jean Castex. Elle a pour mission de limiter les conséquences sociales et économiques de la crise sanitaire, en soutenant l’activité partielle, en favorisant le télétravail ou en accompagnant les jeunes vers l’emploi. Elle doit aussi mener à bien la réforme controversée.

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Sexfriend : le mode d’emploi

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Tout sur le sexfriend

Vous vous demandez comment entretenir une relation basée uniquement sur le sexe, sans engagement sentimental ? Vous voulez savoir quels sont les avantages et les inconvénients de ce type de relation ?

Un sexfriend est une personne avec qui on a des rapports sexuels réguliers ou occasionnels, sans être amoureux ni en couple. C’est une forme de relation libre et sans contrainte, qui repose sur le respect mutuel et la confiance. Le sex friend n’est pas un partenaire romantique, mais plutôt un ami avec qui on partage du plaisir charnel.

Le principal avantage d’un sexfriend est qu’il n’implique pas de s’engager sur le plan sentimental. En effet, le sexfriend ne concerne que l’aspect sexuel. On peut ainsi profiter de sa liberté, sans avoir à rendre des comptes ni à faire des compromis. On peut aussi avoir plusieurs sexfriends en même temps, à condition d’être honnête et de se protéger. Le sexfriend peut aussi être une façon de combler un manque affectif ou de se remettre d’une rupture.

Voici une vidéo parlant de ce type de relation :

Comment trouver un sexfriend ?

Trouver un sexfriend peut être une expérience enrichissante et agréable, à condition de respecter quelques règles de base. Un sex friend est une personne avec qui vous partagez une relation sexuelle sans engagement ni sentiment amoureux.

Pour trouver un sexfriend, il faut d’abord savoir ce que vous cherchez et ce que vous êtes prêt à offrir. Il ne s’agit pas de tomber amoureux ou de se mettre en couple, mais de profiter d’une complicité physique et d’une confiance mutuelle. Il faut donc être clair sur vos attentes, vos limites et vos envies, et les communiquer à votre partenaire potentiel. Il faut aussi choisir une personne qui partage votre vision de la relation et qui ne risque pas de développer des sentiments ou de vous en demander plus que du sexe.

Il faut aussi multiplier les occasions de rencontrer des personnes qui vous plaisent et qui sont ouvertes à ce type de relation. Vous pouvez utiliser des applications de rencontre, des sites spécialisés ou des réseaux sociaux pour entrer en contact avec des profils qui vous correspondent. Vous pouvez aussi sortir dans des lieux propices aux rencontres, comme des bars, des clubs ou des soirées entre amis. L’important est de rester honnête et respectueux, et de ne pas faire de fausses promesses ou de faux espoirs.

Il faut enfin savoir entretenir la relation sans la compliquer. Il faut éviter de mélanger le sexe et les sentiments, et de confondre le sexfriend avec un ami ou un amant. Il faut aussi respecter la vie privée et la liberté de l’autre, et ne pas être jaloux ou possessif. Il faut enfin savoir mettre fin à la relation si elle ne vous convient plus ou si l’un de vous deux veut changer de statut. Le but est de prendre du plaisir sans se prendre la tête.

Comment gérer une relation en sexfriend ?

Une relation sex friend est une relation basée uniquement sur le sexe, sans engagement ni sentiment. C’est une façon de profiter du plaisir charnel sans les contraintes d’une relation amoureuse. Mais comment gérer une relation sex friend sans se faire mal ou blesser l’autre ? Voici quelques conseils pour réussir ce type de relation.

Premièrement, il faut être clair sur ses attentes et ses limites. Il faut discuter avec son sex friend de ce que l’on recherche dans cette relation, de ce que l’on accepte ou pas, de la fréquence des rapports, de la possibilité de voir d’autres personnes... Il faut aussi respecter les règles établies et ne pas essayer de changer les termes du contrat en cours de route. Il faut éviter de se comporter comme un couple, de se faire des cadeaux, de se présenter à ses amis ou à sa famille…

Deuxièmement, il faut protéger sa santé et celle de son sex friend. Il faut utiliser un préservatif à chaque rapport sexuel, pour se prémunir des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non désirées. Il faut aussi faire des dépistages réguliers et être honnête sur son état de santé. Il faut également veiller à son bien-être émotionnel et ne pas se forcer à avoir des rapports si l’on n’en a pas envie ou si l’on se sent mal.

Troisièmement, il faut savoir mettre fin à la relation si elle ne nous convient plus ou si l’un des deux développe des sentiments. Il faut être attentif aux signes qui montrent que la relation devient trop sérieuse ou trop compliquée, comme la jalousie, la possessivité, la dépendance… Il faut alors avoir le courage de rompre avec son sex friend, en lui expliquant les raisons de son choix et en restant respectueux. Il faut éviter de le ghoster, de lui mentir ou de lui faire du mal.

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